vendredi 28 janvier 2011

Le mot du jour : mitose

Mitose
BIOL. Mode de division le plus fréquent de la cellule vivante, au cours duquel le noyau se dédouble avant le corps cellulaire. Synon. caryocinèse. Mitose anormale; mitose simple, équationnelle, somatique. Un seul [noyau] grossit et subit ultérieurement les mitoses qui amènent la formation d'un jeune thalle (Plantefol, Bot. et biol. végét., t.2, 1931, p.42). La division est dite indirecte lorsque le noyau se scinde après apparition des chromosomes. On décrit deux modes de division indirecte: − la mitose (...) est une division généralement équationnelle car elle aboutit à un partage égal des chromosomes du point de vue quantitatif et qualitatif dans chacune des deux cellules-filles. − La méiose (...) correspond à la succession de deux mitoses: la première étant réductionnelle, la seconde étant équationnelle (Husson, Graf, Biol. gén., 1965, p.91).

Trésor

jeudi 27 janvier 2011

Le genre lycopodium



"Le mot Lycopodium vient du grec lukos [loup] et podion [petit pied] faisant allusion à la ressemblance de certaines pousses de Lycopodium clavatum avec une patte de loup."
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lycopodium#Etymologie

Les lycopodinées


Les Lycopodinées forment une classe du phylum des Ptéridophytes. Les plupart des Lycopodinées correspondent à des ordres fossiles. Ont encore des représentants aujourd'hui : l'ordre des Lycopodiales, avec la seule famille des Lycopodiacées, l'ordre des Isoétales, avec la famille des Isoétacées, et l'ordre des Lepidospermales, dont la seule famille vivante est celle des Sellaginellacées. La suite :
http://www.cosmovisions.com/lycopodinees.htm

l'orage du soir ou lecture d'un article orageux

Prologue : A sudden storm sent us all running for shelter.


"In the distance, riot police could be seen advancing from Tahrir. I called the news desk to report that violence was spreading; while I was on the phone the police began to charge, sending me and several hundred protesters running. A short distance away I stopped, believing it safe; a number of ordinarily dressed young men were running in my direction and I assumed them to be protesters also fleeing the police charge behind them. Yet as two of them reached me I was punched by both simultaneously and thrown to the ground, before being hauled back up by the scruff of the neck and dragged towards the police lines."
La suite de l'article évoque de plus en plus Cervantès, bien que ce ne soit pas drôle :

"The men were burly and wore leather jackets – up close I could see they were amin dowla, plain-clothes officers from Egypt's notorious state security service. All attempts I made to tell them in Arabic and English that I was an international journalist were met with more punches and slaps; around me I could make out other isolated protesters also being hauled along, receiving the same treatment. "
http://www.guardian.co.uk/world/2011/jan/26/egypt-protests

mercredi 26 janvier 2011

La jolie spirale du cycle


Au centre de la spirale on voit le sporophyte arrivé à mâturité, issu du zygote (oeuf), lui même issu de la fusion de gamètes de sexe opposé, gamètes produites dans les gamétanges, organes différenciés sur des individus appelés gamétophytes ou prothalles en ce qui concerne les fougères.

Le mot du jour : anthérozoïde


Anthérozoïdes (botanique), du grec anthêros = fleuri, zôon = être vivant, et eidos = forme. - Corps reproducteurs mâles de certains cryptogames, corps très petits, animés de mouvements propres, exerçant leur action fécondante sur la masse plasmique femelle ou oosphère. La suite :
http://www.cosmovisions.com/antherozoides.htm

mardi 25 janvier 2011

La phrase du jour


Our maths teacher hardly ever gives us difficult exercises.
anglaisfacile.com, bien sûr !

Cycle de vie d'un fougère


1- Spore (n) germe -produit un gamétophyte jeune.2- Le gamétophyte mature a la forme de coeur et est homosporé (porte les anthéridies et les archégones). Le gamétophyte est photosynthétique3- Les spermatozoïdes flagellés sont libérés et nagent vers l'archégone -fécondation de l'oosphère -production du zygote4- Le zygote devient un nouveau sporophyte qui pousse sur le gamétophyte5- Sous les frondes du nouveau sporophyte il y a des sores qui contiennent les sporanges qui produisent les spores.6- Sporanges libèrent les spores qui germent pour produire les gamétophytes homosporés.

Gamétophyte


http://image.wistatutor.com/content/flowering-plants-reproduction/embryo-sac-female-gametophyte-development.jpeg

gamétophyte (-phyte*), subst. masc. « Partie de la plante portant les gamètes ». Le gamétophyte commence à la réduction chromatique et s'achève à la fécondation (Quillet 1965). Cf. Hist. gén. sc., t. 3, vol. 2, 1964, p. 761 et 792.
Prononc. et Orth. : [gameto], [-tɔ-] en syll. désaccentuée. Les mots formés sont soudés : gamétange, gamétocyte, etc. Bbg. Quem. DDL t. 6 (s.v. gamétophyte).  
Source : Trésor



Autre façon de définir ce mot dans le Larousse :


Gamétophyte : organisme végétal issu d'une spore, destiné à former les gamètes et reconnaissable dans les espèces végétales où il existe une alternance des générations.



Wikipédia :
Le gamétophyte est la génération du cycle de vie qui produit les gamètes de la plante. En d'autres termes, c'est l'individu issu d'une méiospore et produisant des gamètes.
Le gamétophyte n'est pas toujours haploïde (par exemple chez le Fucus, ou encore par homologie chez l'Homme).
Chez les mousses (Bryophytes), le gamétophyte est constitué par l'axe feuillé, qui est la partie la plus visible de la plante.
Chez les fougères (Ptéridophytes), le gamétophyte est le prothalle.
Chez les Angiospermes, plantes à fleur, le gamétophyte femelle est le sac embryonnaire, qui contient l'oosphère (gamète femelle) et le gamétophyte mâle est réduit au grain de pollen, structure bi- ou tricellulaire donnant des gamètes mâles.
Chez les algues, les situations sont variées.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gam%C3%A9tophyte

lundi 24 janvier 2011

Les phrases du jour

— We were promised help !
— It's easier to make a promise than to keep one.

Pour ne pas s'emmêler les pinceaux avec les adverbes


une petite révision intéressante avec cette phrase :
Why do witches always have brooms ?
et pleins d'autres exemples sur Anglaisfacile.com

jeudi 20 janvier 2011

La phrase du jour

Enough talk, let's have some action !

Un début de synthèse


Les Fougères, les Mousses et les Lichens sont trois groupes de plantes comprenant des centaines d’espèces, lesquelles appartiennent à un genre. Ce "rangement" scientifique aide à comprendre le cheminement des plantes à travers le temps et l’espace, leur mode d’organisation etc. Chaque groupe a sa place dans le règne végétal qui est subdivisé en grands ensembles appelés embranchements. Tout d’abord nous avons l’embranchement des Thallophytes qui regroupe les Algues, les Champignons et les Lichens, végétaux qui s’associent dans une relation symbiotique, c’est-à-dire à bénéfice réciproque. Autre degré d’organisation, succédant aux Thallophytes, l’embranchement des Bryophytes dont les végétaux sont tous chlorophylliens et dépourvus de racines, ils sont généralement connus sous le nom de Mousses, mais ces mousses ne constituent qu’une partie de cet embranchement. Ensuite vient, avec les premiers végétaux adaptés à un mode de vie terrestre, l’embranchement des Ptéridophytes ; ceux-là ont inventé la racine, un organe plutôt utile pour se fixer au sol, pomper l’eau et les sels minéraux dissous qui constituent la sève brute qui les alimente. Les Ptéridophytes sont un groupe plus vaste, regroupant des individus d’aspect très varié et de modes de vie différents, il y en a même qui ont un mode vie aquatique. Qui trouve-t-on, faisant partie de cet embranchement ? Celles que nous appelons Fougères. Ont fait suite dans l’évolution, les végétaux regroupés dans l’embranchement des Spermaphytes, ou plantes à graines : ce sont les Gymnospermes (plantes à graines nues), représentés par les conifères et les angiospermes ou plantes à fleurs.

L’embranchement des Ptéridophytes ou Fougères est divisé en plusieurs classes, subdivisées en ordres, en genres et en espèces.

J’en suis là de ma petite synthèse de lecture. Lecture passionnante mais un peu "étrange" au premier abord pour une non scientifique. La curiosité fait prendre multe chemins qui valent ma foi "la peine" d'être parcourus.
Source : Guide des Fougères Mousses et Lichens d’Europe de H.M. Jahns Ed. Delachaux et Nieslé

mardi 18 janvier 2011

Alter Eco


"Grâce au partenariat mis en place avec la Corab, coopérative biologique française spécialisée dans les légumineuses, céréales et oléagineuses située en Charente Maritime, et le lancement d’une gamme de 5 produits français, Alter Eco souhaite promouvoir une vision alternative de l’agriculture française, respectueuse de la dignité humaine et de l’environnement. La gamme initiale des produits équitables « Nord-Nord » Alter Eco est constituée de 3 légumineuses (poids cassés, lentilles et haricots blancs) et 2 mueslis. Les produits seront disponibles en magasin en Mars 2011 ... "
http://www.i-dietetique.com/?action=articles&id=8441&identifiant=00d01b459d0a7628412dee4bf1302b6c&em=623

lundi 17 janvier 2011

La phrase du jour

As I was walking accross the beach a dog jumped at my face and really scared me.
Anglais facile.com

dimanche 16 janvier 2011

Mais qu'est-ce à dire ? ... par Jacques Dubois


"Mais qu’est-ce à dire ? Que, dans l’ensemble, l’être humain pense mal ? Ou bien que, rhétoriquement parlant, bien penser n’a pas de sens ? Si, comme le veut Angenot, de grandes formules enregistrées par la tradition ne sont en fin de compte que des sophismes (tel le pari de Pascal), il n’est pas d’issue possible pour une rhétorique « juste ».
L’auteur ferraille encore contre les illusions qu’il voit à l’œuvre dans les grandes idéologies de gauche comme de droite, qui toutes accusent l’adversaire de donner dans l’irrationalité. Mais l’illusion est partout et les philosophies en prennent également ici pour leur grade. C’est que leurs démonstrations se fondent sur l’idée d’une raison transcendante, à même d’arbitrer le dilemme du vrai et du faux. Or, « logomachies solipsistes » (p. 298), elles tendent à s’enfermer dans des raisonnements circulaires qui ne valent guère mieux que le «Toto n’aim’ pas les épinards / Et c’est heureux pour Toto car/ S’il les aimait, il en mang’rait / Or i peut pas les supporter. » (p. 200), rappelé ici plaisamment. Occasion de faire la part de l’humour
angenotien, par lequel l’ouvrage se recommande encore, manifestant par en dessous une verve ravageuse assez réjouissante."
Marc Angenot, Dialogues de sourds, Traité de rhétorique antilogique. Paris, Mille et une nuits, …
http://penser.over-blog.org/ext/http://www.mediapart.fr/club/blog/Jacques%20Dubois

dimanche 9 janvier 2011

Water Lily and Forget me not


Source : Anglaisfacile.com

dimanche 2 janvier 2011

Les flores du Dévonien inférieur de Philippe Gerrienne


"Au début du Dévonien, vers –400Ma, Cooksonia cède la place aux Zostérophyllopsides, plus grandes et plus robustes. Ce sont les premières plantes de la lignée des Lycophytes, comprenant les lycopodes* actuels. Zosterophyllum a de quelques centimètres à quelques décimètres de hauteur. Ses axes, dépourvus de poils, se divisent par dichotomies* égales ou inégales. Ses sporanges*réniformes (forme d’un rein) ou allongés transversalement, situés à l’extrémité de courts pédicelles, sont disposés en épis souvent compacts. Ils libèrent leurs spores par une fente de déhiscence bien marquée, faite de cellules spécialisées, divisant chaque sporange en deux valves égales. Zosterophyllum est subcosmopolite : on le connaît en Europe, aux États-Unis, en Asie, en Australie. Parmi les Zostérophyllopsides, Gosslingia a des sporanges en forme de rein dispersés le long des axes nus, ramifiés par dichotomies inégales ; Sawdonia possède des axes couverts de poils. La structure anatomique des Zostérophyllopsides comprend un système vasculaire qui consiste en un cylindre central plein, ou protostèle, circulaire ou ovale en section transversale ; les cellules du xylème (nom scientifique du bois) sont des trachéides dont la paroi annelée-réticulée est composée d’une couche interne lignifiée et d’une couche externe non lignifiée. On retrouve se type de trachéides chez les premières lycophytes.

Les Lycophytes se définissent par trois caractères principaux : la microphylle, ou feuille à une seule nervure ; un seul sporange à la face supérieure de chaque feuille spécialisée dans la sexualité, appelée feuille fertile ou sporophylle ; enfin un cylindre central, ou stèle, dont les cellules les plus anciennes sont périphériques et qui, de ce fait, est qualifié d’exarche.
Les plus anciennes, Asteroxylon, Drepanophycus et Baragwanathia, sont des pré-Lycophytes contemporaines des Zostérophyllopsides. Le Baragwanathia australien serait même beaucoup plus ancien, d’âge silurien supérieur d’après la faune marine associée – mais cet âge est controversé.

La plus ancienne Lycophyte vraie est Leclercqia, du Dévonien inférieur et moyen. Son axe principal, divisé par dichotomies égales et inégales, porte des microphylles disposées en spirale et constituées d’un segment central recourbé vers le bas et de deux segments latéraux eux-mêmes divisés en deux. Les sporophylles sont identiques aux feuilles végétatives, mais portent un sporange ovoïde sur leur face supérieure. Cette plante avait des spores toutes identiques et était donc, par définition, isosporée.
Un autre groupe extrêmement intéressant est apparu vers la moitié du Dévonien inférieur, celui du célébrissime Rhynia. Découvert dans le chert écossais de Rhynie (Kidston et Lang, 1917-1920), le genre Rhynia comportait alors deux espèces : R. gwynne-vaughanii et R. major. À l’époque, Rhynia, avec ses sporanges apparemment terminaux et ses axes à divisions simples, illustrait la morphologie des toutes premières plantes vasculaires, dont elle devint très vite l’archétype. Cependant Edwards (1980,1986) démontra que l’espèce major ne possédait pas de trachéides vraies et la transféra dans un nouveau genre, Aglaophyton. Il démontra ensuite que les sporanges de R. gwynne-vaughanii étaient subterminaux. Enfin, Kenrick et Crane (1991) montrèrent que R. gwynne-vaughanii avait des trachéides particulières, dites "de type S". Ces trachéides ont une paroi à épaississements spiralés composée de deux couches : l’interne, très fine, résiste à la décomposition ; l’externe, moins résistante, est épaisse et spongieuse. Ce type de trachéide existait aussi chez quelques rares genres dévoniens, tels Stockmansella ou Huvenia. Un caractère commun à toutes ces plantes est leur sporange, sans structure de déhiscence particulière et porté par un petit coussin de cellules banales formant un tissu nommé parenchyme. On estime aujourd’hui que ces plantes à trachéides de type S sont des plantes vasculaires très particulières, d’où leur nom de Paratrachéophytes (Gerrienne et al., 2006). Elles se sont éteintes au Dévonien moyen sans laisser de descendance connue. Exit donc le rôle de plante vasculaire archétypale joué par Rhynia, ce statut étant aujourd’hui assumé par le simplissime Cooksonia.

Les Euphyllophytes apparaissent vers le milieu du Dévonien inférieur. Ce sont des plantes à feuilles vraies et à nervures multiples, ou mégaphylle. Les plus anciennes ont des ramifications archaïques par dichotomies inégales, et les plus modernes des ramifications dues au fonctionnement de bourgeons latéraux et qualifiées de monopodiales. Elles sont caractérisées aussi par des trachéides dont les ponctuations sont dites scalariformes, car elles sont disposées en barreaux d’échelle, et par des sporanges terminaux par paires, dont chacun porte d’un seul côté une ligne de déhiscence longitudinale. À l’exception des Lycophytes, toutes les plantes vasculaires actuelles sont des Euphyllophytes.

Le genre le plus ancien est Psilophyton. C’est une plante très importante, puisqu’elle et ses proches seraient à la base de toutes les lignées modernes de plantes vasculaires, Lycophytes exceptées.
Psilophyton est d’assez grande taille – environ un mètre de hauteur –, avec un axe principal plutôt robuste (Banks et al., 1975), lisse et couvert de poils. Les axes latéraux végétatifs ou fertiles seraient homologues des feuilles des plantes actuelles. Les axes fertiles se terminent par des grappes de paires de sporanges allongés, fusiformes, typiquement enroulés l’un autour de l’autre. Les axes de Psilophyton ont une protostèle massive, composée de trachéides de types P (Kenrick et Crane, 1997) et qualifiée de centrarche, les trachéides les plus anciennes étant situées au centre.
Le Dévonien inférieur a livré d’autres plantes, dont la position systématique reste incertaine. Ces genres, ajoutés à ceux dont les affinités sont mieux cernées, composent un paysage éodévonien beaucoup plus varié et chamarré que ce texte ne le laisse penser.
Pour se reproduire, toutes ces plantes dispersaient leurs spores. Comme chez les fougères modernes, leur fécondation était donc dépendante de la présence d’eau pour permettre au gamète mâle flagellé de nager vers le gamète femelle. C’est sans doute pour cette raison que beaucoup de ces plantes étaient confinées aux zones humides. "

Aux origines des plantes Sous la direction de Francis Hallé chez Fayard (p. 20 à 26)


* Lycopodes : plante archaïque vasculaire sans graines, à la tige grêle, à feuilles étroites et allongées, voisine des fougères, dont les spores forment une poudre très inflammable
Synonyme: pied-de-loup
de nombreuses espèces de lycopodes sont protégées • la poudre de lycopode était utilisée en pyrotechnie


* dichotomie : ramification par séparations successives en deux branches
les dichotomies du gui

*Sporange : petit sac contenant un grand nombre de spores qui seront dispersées à la maturité de la plante
des sporanges disposés en bouquets

Spore : cellule ou ensemble de cellules qui participent à la reproduction (de certains végétaux)
les minuscules spores des fougères

subcosmopolite : adjectif singulier invariant en genre (botanique ou zoologie) se dit d'une espèce représentée dans de nombreuses parties du monde, mais non dans toutes.

Mot du jour : trachéide


BOT. Cellule allongée constitutive des tissus ligneux, ayant un rôle de soutien, qui conduit la sève brute dans les parties vivantes de la plante. Les fibres portent à cet effet des ponctuations spéciales, qui établissent d'une cellule à la cellule voisine des communications par où s'effectueront les échanges. Ces fibres de nature particulière sont appelées chez les résineux les trachéides (...): elles constituent à elles seules, à peu près tout le bois (Campredon, Bois, 1948, p. 4).
Prononc.: [tʀakeid]. V. trachée. Étymol. et Hist. 1892 bot. (Baillon). Comp. de traché(e), v. trachée et du suff. -ide2* d'apr. l'all. tracheïde mot introd. en 1863 par Sanio, Bot. Zeitung, 113 ds NED.
Trésor

étymologie de étymologie

En latin, etymologia, du grec etumologia de etumos, vrai

étymologie de gymnosperme : du grec gumnospermos, dont les graines sont nues


réticuler : latin reticulatus, croisé

polymère : grec polumerês, multiple

le Larousse


trachéide : Composé de trachée et -ide (« qui a l'aspect extérieur de »).
Wiktionnaire